Nos lecteurs seront surpris de recevoir ces deux livraisons couplées. Qu'ils pardonnent, à M-F.L. une pareille pagaille. Directeur de 175 élèves, depuis la rentr é e (alors qu'il avait été adjoint précédemment, trop occupé pour demander de nouvelles responsabilités, mais, avec l' âge, n'est-ce-pas ?) je - passons à la première personne ! - il se trouve un peu plus submergé qu’ à l'ordinaire, et ç a n'est pas peu dire - tiens! La première ne passe plus ? - Je, donc, me trouve. Que Je vous disse aussi crue je tape cet articulet en direct, c'est-à-dire que je le ponds en m ê me temps que je perfore le stencil. Tout ç a, avouons tout, pour aller plus vite. Car, si TRACES ne paraît pas à date fixe, la CPPP risque de lui retirer son numéro. Aller plus vite disais-je aussi j'espère que vous nous passerez le peu de pages de cette livraison, car, nous sommes le 23-XII, et ça urge. Certaines pages sont extraites, dans ce numéro publiées, de livraisons da TRACES anciennes, épuisées. Ainsi, le DIEU EST MORT, de Sandre. Mal venu, diront nos amis chrétiens, en cette veille de Noël . Par ailleurs mon texte « La fourmi » enfonce, à sa manière, le clou. Traces pourtant a toujours montré une ouverture chaleureusement franche à toutes les tendances pourvu que le respect au à l'homme, la femme, l’enfant, l'animal y trouve son compte. C'est, à mon sens, ce qui sous-tend les textes de Sandre et Lavaur. D ’autre part, en ces temps de Noël, justement, si l'on songe à ce que certains font et font faire sous le couvert d'une d é votion à un Dieu, quelque nom ils lui donnent, on ne peut que trouver matière à une seine méditation.