Fervent du haïku et autres brefs, Michel-François Lavaur
en a composé plus d'un millier en français, occitan, anglais, espagnol, italien...
"Vues, rêves , sensations, détails, intimes morceaux de nature ou immenses ouvertures, méditations -éclairs, humour qui éclate à fleur de mots, raccourcis philosophiques, ce sont des textes qui allient spontanéité et lucidité, ironie et tendresse."
André Miguel,
« Nombre de maîtres du haïku étaient peintres-poètes (et prosateurs). Je peins, j'écris proses et vers. Mes études d'art ont éveillé en moi une passion pour les peintures chinoises et estampes japonaises.
Le haïku (jusqu'au senryû) se dessine, croquis sur le vif, avec des mots, comme il se présenta en une calligraphie verticale. Cette longue attirance (près d'un demi-siècle, pour moi) ne pouvait que me conduire à m'initier à la langue japonaise, si différente de la nôtre, pour comprendre comment il fonctionne, de l'intérieur. »
Lavaur